Pays
Singapour
Application
Préfiltration à ultrafiltration, osmose inverse
Source d'eau
Eau de mer
Filtration solution
Phase 1: 22 unités de 4 x 10” Super Galaxy modules verticaux 100μm
Phase 2: 34 unités de 4 x 10” Super Galaxy modules verticaux 20μm
Contexte
Singapour, en Asie du Sud-Est, est un important centre économique de la région. Son territoire s’étend sur seulement 720 km², et plus de la moitié de l’eau potable y est importée de Malaisie. La sécurité de l’eau consommée à Singapour dépend des activités de dessalement et de réutilisation. L’usine de dessalement de Tuas augmentera la capacité de dessalement de Singapour pour satisfaire jusqu’à 30 % de ses besoins actuels en eau.
Défi
Les menaces liées au changement climatique viennent encore ajouter de nouveaux défis aux problèmes d’approvisionnement en eau de Singapour. Parallèlement à ces problèmes, il est aussi nécessaire de faire face à l’augmentation de la demande en eau, qui devrait doubler au cours des prochaines années. Pour satisfaire ses besoins croissants en eau, Singapour dépend de ses « quatre robinets nationaux », ou sources d’approvisionnement en eau : • Eau importée • Bassins hydrographiques locaux (eaux de ruissellement, eaux pluviales, etc.) • Dessalement de l’eau • NEWater (réutilisation des eaux usées)
Solution
Un appel d’offres a été lancé en août 2015 pour construire la troisième usine de dessalement d’eau de mer de Singapour, à Tuas. En décembre de la même année, HSL (une importante société de construction de Singapour) et l’entreprise espagnole Tedaqua (spécialisée dans la planification d’usines de dessalement) ont créé une co-entreprise qui a été choisie pour mener à bien le projet. Au terme des négociations achevées en juin 2016, Amiad a été choisi comme fournisseur pour les systèmes de filtration.
Résultat
Une des principales difficultés était d’économiser de l’espace dans l’usine. Pour la Phase 1, Amiad a donc proposé au client sa solution de filtration à disques Super Galaxy qui présente un encombrement relativement réduit. Le système offre également une protection élevée contre les charges organiques en amont des membranes d’ultrafiltration, mais le plus important est sans doute qu’il protège les fibres des membranes des dommages provoqués par les particules coupantes susceptibles de nuire à leur intégrité. La solution proposée pour la Phase 2 permet aussi de gagner de l’espace au sol tout en limitant les coûts d’exploitation grâce à sa simplicité et au peu d’énergie consommée par rapport aux filtres à cartouches.